Mais que s’est-il passé ces dernières semaines, ces derniers mois ? Depuis la sortie du règlement 2018 – Robot Cities, les équipes travaillent chacune de leur côté pour mettre au point leur stratégie et leur(s) robot(s). Toutes n’ont pas la même approche, mais bon nombre partage leur avancement sur la toile. D’ailleurs, si vous aussi vous souhaitez partager votre aventure, on vous invite à ajouter le hashtag #CDR2018 sur vos posts Facebook et Twitter pour que tous les habitués puissent interagir avec vos publications. Nous tenions en tout cas à féliciter tous ceux qui partagent leur expérience et nous sommes impatients de lire la suite.

Alors comment ça se passe quand on est une équipe ? On vous fait un résumé des actions qui ont été réalisé ou qui sont engagées en ce moment.

Tout d’abord faire l’aire de jeu !

Pour pouvoir tester le futur robot, il faut bien avoir une table de jeu respectant le règlement de cette année. Bon nombre d’entre vous ont commandé le vinyle de cette édition et l’on a pu vous voir à l’oeuvre en train de rénover votre table. Pas toujours facile de supprimer celui de l’année dernière.

Ensuite faire des premiers tests sur les balles !

Avec les nouvelles balles bicolores en mousse qui ont été intégrées au règlement, vous avez été nombreux à publier vos premiers tests. Adhérence, compression, usure, … tout y passe. Afin que les robots soient le plus efficaces possible le jour du concours, vous leur avez fait subir bon nombre de séances de torture. Et aujourd’hui on peut voir les premiers systèmes de récupération et de tri en fonctionnement.

Concevoir le robot entre copains !

Tout le monde n’est pas forcément en avance, comme l’équipe Cocobot qui commence tout juste la réflexion sur ses cartes électroniques et la conception mécanique de son robot.

A l’image de AIGRIS Birds, qui finit sur la deuxième marche du podium en 2017, certaines équipes sont un peu plus avancées et attaquent la phase d’assemblage du robot, pendant que les autres membres de l’équipe codent.

Soigner l’aspect visuel

Y a tellement de choses possibles à créer cette année, qu’il sera difficile en un seul article de résumer toute la créativité de nos équipes, mais nous tenions à vous montrer également qu’une machine n’est pas forcément qu’un morceau de métal avec quelques pièce en plastique formant un ensemble peu esthétique. Beaucoup de participants apportent une attention toute particulière à la « plastique » des robot. Un peu comme l’équipe I-Grebot qui nous a montré récemment un aperçu de son abeille qui ressemble énormément au vrai tout de même.

Des bugs à corriger

Tout n’est pas toujours fonctionnel du premier coup. Il faut alors analyser le problème et trouver une solution. Un conseil : ne jamais baisser les bras et persévérer : c’est souvent comme cela qu’on apprend à faire des systèmes de plus en plus fiable.

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