Après avoir été défié par l’association de robotique de son école UTT, Jeoffrey a relevé le défi de participer à la coupe en 2016. Et cela a été le début d’une belle aventure. En effet, après tout tout s’est enchainé : participation l’année suivante avec l’association de robotique de l’UTC et l’année suivante, Jeoffrey est ensuite venu avec d’autre membre de l’équipe et il a sympathisé avec les arbitres. Cela lui a donné l’envie de rejoindre les bénévoles en tant qu’arbitre l’année suivante.
Il est resté fidèle à ce bel engagement jusqu’à aujourd’hui. Il a pu voir l’évolution de l’association de son école d’année en année et avoir la fierté que la base roulante qu’il avait connu quelques années auparavant est encore utilisé aujourd’hui par les étudiants de l’UTC. Ce poste est très enrichissant et il permet d’avoir plusieurs casquettes.
Tout d’abord celle de l’homologation, qui comprends deux parties : statique (validation des dimensions, du poids…) et dynamique (test de validation du bon fonctionnement. Lors d’un match en vérifiant que le robot ne soit pas dangereux pour les équipes et le matériel).
Par ailleurs, lors de ce poste, il y a de beaux échanges qui se créés avec de l’entraide pour trouver des solutions pour réussir l’homologation. De plus, les bénévoles au poste d’arbitre peuvent également être au coeur de l’action lors des matchs. Cela permet de découvrir des nouveaux programmes des équipes. Cette année, il a participé en partie sur le règlement de cette coupe et a trouvé particulièrement interessant la suite d’action permettant à l’accélérateur de particule de libérer le goldenium. De plus, cette année il trouve que les actions sont équilibrées, permettant l’accessibilité pour la réalisation de chacune des actions.
Le sujet qu’il a le plus marqué est celui du château de sable où la dynamique de robot était très agressive et où les deux équipes se partageaient une zone. Le sujet qu’il souhaiterait faire est le ciel (avec par exemple des challenges avec des montgolfières, des avions…)